N’ayant pas reçu de réponses favorables ou pas de réponses du tout des maisons d’édition auxquels je me suis adressé, j’ai décidé de passer par une maison d'auto-édition pour le faire corriger et pour la mise en page.

Les versions numérique et papier N/B peuvent être achetées sur :

www.fnac.com  et  www.amazon.fr

La version numérique uniquement (frais d'envois papier trop élevés) sur :

www.librinova.com

La version papier couleur auprès de l'auteur (30.- chf + frais d'envois): cielsurterre.pm@gmail.com

Il est projeté d’en faire par la suite et ce d’autant plus qu’il y aura des demandes de faites à l’image des exemples donnés ci-dessous.
Pour information, les sujets ne seront pas abordés d’un point de vue strictement psychologique ou médical, mais avec une regard d’essence spirituelle.
 

Notre double nature, une notion au-delà du concept d’ identité

La VIE est-elle digne de confiance ?

Choisir la confiance, un acte de foi

Créer l’unité en soi

La nature de notre intention au cœur de tout

Se libérer de la souffrance liée aux souvenirs du passé

Qu’il y a-t-il de vrai dans nos croyances ?

Notre existence, du présent en transformation

Travailler sur soi avant tout

S’aligner au calme et à la paix

La famille intérieure

L’amour de soi, un remède contre le rejet

La quête de reconnaissance et son illusion

Comprendre la notion de santalité (physique, émotionnelle, mentale, spirituelle)

Faire face avec respect de soi et de l’autre

Comprendre les notions de regard et de jugement

Comment voir juste ?

Utiliser les mécanismes du cerveau en notre faveur

Pratiquer au quotidien, étape indispensable pour se réaliser

Être un collaborateur à la vie

Spiritualité pratique

Jamais seul

Que restera-t-il de nous ?

Oui, un nombre croissant de personnes viennent déjà faire des séances en individuel au cabinet (Av Industrielle, 1- 1227 Acacias) et depuis ce printemps des séances peuvent également avoir lieu par Skype.

Pour les cours en groupe il faut entre 3-5 personnes. Si vous êtes intéressé parlez-en à votre entourage.
 

Vous pouvez prendre rendez-vous au : 079 435 06 82 (Suisse)

L'inspiration ayant toujour été présente je me suis lancé dans l’écriture d’un deuxième ouvrage. Celui ci aborde le thème de la croisée des chemins, face à notre libre arbitre, bien que l'on ne se sente pas si libre que ça à ce moment. Il pourrait être enrichi par les réponses d'un questionnaire anonyme (5-10 min).
Si vous le souhaitez, vous pouvez y participer.
 

Cette option est en construction

Vous avez probablement déjà entendu parler de personnes ayant fait l’expérience d’une « sortie hors du corps » (SHC), ou peut-être en avez vous vous-même déjà fait l’expérience.

Sous l’appellation populaire de « voyage astral » ou de « projection astrale » se distinguent deux grands groupes, selon l’état de santé physique de l’expérimentateur au moment de sa survenue.

• Les : OBE (Out-of-Body Experience)

• Les : NDE (Near Death Experience) ou EMI (Expérience de Mort Imminente)

Pour quelqu’un ne l’ayant jamais vécu personnellement cela peut paraître très étrange, relever du délire psychiatrique ou être le résultat d’un excès de fumette. Le texte qui va suivre ne cherche pas à convaincre, l’issue étant rarement heureuse. J’ai appris que vouloir le faire tient plus de l’orgueil spirituel, et de plus, tout le monde n’est pas prêt à accueillir ce genre d’information.

Je n’ai pour ma part, ni besoin de validation venant de l’extérieur pour avoir le droit de faire mien ce que j’ai vécu, ni besoin d’assujettir qui que ce soit pour me placer en position de force. Ma seule intention, par ce court texte, est d’informer et partager un savoir avec ceux qui s’interrogent sur le sujet, que ce soit par ouverture d’esprit ou par besoin. Un certain nombre de personnes ayant vécu une expérience de ce type (parfois sans vraiment savoir de quoi il s’agissait) se sont retrouvées bien chamboulées, d’autant plus si elles en ont fait un lourd secret. Le silence, l’isolement, la peur du jugement venant des autres, voire de soi, sont autant de barreaux qui maintiennent prisonnier. Heureusement, il y en a d’autres qui l’on vécu de manière très libératrice en ayant acquis une compréhension bien plus vaste de ce que la vie pouvait être.

Pourquoi nous ne le vivons pas tous consciemment au cours de la vie ? Je n’en sais rien. En arrivant au monde et en le quittant nous en faisons naturellement tous l’expérience, mais ce ne sont pas les moments les plus propices pour en parler : trop tôt ou trop tard.

Que signifie en fait « sortir hors du corps » ?

Pour commencer, je dirais que cela n’a rien à voir avec la rêverie où nos pensées nous font voyager ailleurs alors que nous sommes partiellement conscients d’être allongés ou dans une autre position. Si c’était le cas, à chaque moment d’ennui, de distraction ou de relaxation nous serions en train de faire cette fameuse « sortie hors du corps ». Cela n’a rien à voir non plus avec nos rêves survenant lors du sommeil paradoxal. À ces moments-là ont lieu des processus de mémorisation et de classification dans notre cerveau, activant au passage d’innombrables souvenirs. Dans ces deux cas il ne s’agit que d’une escapade dans la tête et, à notre « réveil », nous émergeons de nos pensées imagées. La sortie n’a eu lieu, ici, que sur le plan cérébral et à aucun moment par une sortie hors du corps physique.

La sortie, je devrais dire « les » sorties hors du corps, sont une expérience autrement plus marquante. Elles se distinguent par le fait qu’elles ne ressemblent à aucune autre expérience vécue en conscience, et parfois même, elles paraissent plus vraies que nature. Ayant vécu d’innombrables sorties je peux dire qu’elles sont très variables et dépendent de notre état de santé physique, du lieu, de notre état d’esprit ainsi que du pourquoi nous sommes amenés à en vivre une.

Le terme OBE s’utilise pour une « sortie » survenant lors d’un profond état de détente du corps (relaxation, fatigue, somnolence, état entre la veille et le sommeil), alors que les termes de NDE ou EMI (en français) sont utilisés lorsque la personne vit cette sortie du corps alors qu’elle se trouve entre la vie et la mort (accident grave, arrêt cardiaque, accouchement à risque… ).

Dans les deux cas, un certain nombre d’éléments accompagnant la sortie peuvent être décrits :

• Une sensation d’engourdissement du corps, voire une inquiétante paralysie générale

• Une sensation électrique dans le corps comme signe d’une imminente sortie

• La sensation de s’extraire du corps, de se « décoller » de l’intérieur

• Une impression de dissociation, d’être très légèrement au-dessus du corps

• Une sensation de flottement avec des oscillations, comme le ferait un drone en vol stationnaire

• Réaliser qu’il n’est possible de diriger que l’un des deux corps à la fois, soit le corps physique, soit le corps subtil

• Parfois pouvoir se voir depuis au-dessus

• Virevolter dans une pièce, traverser les murs, faire du vol libre en extérieur

• Sensation de légèreté absolue, comme une sensation de liberté

• Réaliser qu’une simple pensée suffit à déplacer ce « corps subtil », mais aussi, être un élève conducteur qui prend le volant pour la première fois

• La possibilité de vivre (voir, sentir, entendre) sans passer par les organes du corps, comme si tout passait par l’essence de notre être

• Entendre et voir des choses existant autour de nous, même si elles sont hors de portée de nos sens habituels

• Être témoin d’événements liés à un lieu, sans la barrière du temps

• Entendre très clairement une ou des voix de personnes et plus rarement pouvoir communiquer de manière non verbale. (J’ai observé que ce premier plan astral est fréquenté par de nombreuses « entités » en transit).

• Parfois, selon les plans « astraux » atteints, nous pouvons percevoir une luminosité d’une grande blancheur, incomparable avec ce que nous connaissons ici.

• Toujours selon les plans atteints, une impression de passer par un tunnel (que je n’ai pas vécue). Cela est peut-être réservé aux NDE / EMI • Plus rarement, une impression de baigner au sein même de l’énergie primordiale qui anime la matière des éléments qui nous entourent

• De manière générale c’est l’état intérieur (peurs, paix intérieure, intention, interrogations…) qui, à valeur égale, induisent et définissent la nature du vécu

Une fois enclenché, le retour « dans le corps » est plus simple à décrire :

• Un cheminement rapide, parfois direct, en direction de « l’intérieur du corps »

• Une impression de tomber, parfois de haut (au sens propre)

• Une sensation de lourdeur au moment de réintégrer le corps physique, d’être comme plaqué au sol

• Un état d’hyper vigilance, les sens aiguisés, le corps en alerte (ce qui est évident vu l’intensité et le caractère hors normes du vécu)

Pascal Morandi, le 7 septembre 2017